Chaque année, le nombre de touristes internationaux enregistré bat des records. En 2018, 1 401 milliard de personnes ont voyagé à travers le monde et en 2030 nous pourrions être plus de 1 800 milliard. C’est ainsi que le terme surtourisme a gagné en popularité. À mesure que le nombre de touristes augmente, ses effets néfastes se déploient et menacent la durabilité de certaines destinations qui attirent grand nombre d’entre eux : Dubrovnik, Venise, Amsterdam, Barcelone et bien d’autres villes ont besoin de réagir. Aujourd’hui, il est devenu nécessaire pour les organismes de gestion de destinations de réduire la surfréquentation touristique. Mais comment peuvent-ils lutter ? En réponse à cette question, il semblerait que le démarketing soit la solution. Adapté au domaine du tourisme, il s’agirait de décourager les visiteurs par le biais de divers outils. Ce mémoire de recherche est une réflexion sur l’intégration du démarketing dans les stratégies des destinations et la manière dont il parvient à aider les destinations à réguler le flux de touristes.